Professions libérales, avez-vous pensé à votre retraite ?

Avocat, notaires, médecins, experts comptables, infirmiers… Le statut de profession libéral a ses avantages : en plus d’être votre propre patron, vous payez moins de cotisations sociales qu’un salarié durant votre vie active, à niveau de revenu égal. Toutefois, lorsqu’arrive l’heure de la retraite, les inconvénients de votre statut surgissent… La pension touchée à la retraite sera moins importante qu’un salarié. Alors comment anticiper cela ?

Partir à la retraite dans de bonnes conditions

Deux régimes régissent la retraite des professions libérales : une retraite de base prise en charge par la CNAPL et une retraite complémentaire obligatoire gérée par le caisse de retraite affiliée à la catégorie professionnelle.

Pour pouvoir partir à la retraite avec un taux plein, il est nécessaire d’avoir cumulé un versement de cotisations pendant 160 trimestres peu importe la profession : professions réglementées comme les experts-comptables ou les mandataires judiciaires, et professions non réglementées comme avocat ou encore médecin… Il est également essentiel d’avoir souscrit à une assurance durant cette période.
Ce régime de retraite est basé sur un système de points. Le départ à la retraite dépend donc du nombre de points accumulés, un point valant 0,484€.

Ainsi, pour estimer le montant de la retraite de bases qui sera touché par un travailleur en profession libérale, 3 facteurs sont à prendre en compte :

  • Le nombre de points cumulés au cours de la carrière professionnelle
  • La valeur annuelle du point
  • La taux de liquidation de la pension qui varie en fonction de la durée de l’assurance

Les régimes obligatoires aux travailleurs en profession libérale versent environ 50% du dernier revenu professionnel (contre 72-74% pour un salarié). La pension de retraite risque donc d’être insuffisante pour couvrir vos besoins et dépenses.

 

Comment anticiper sa retraite et éviter une perte de revenus trop importante ?

La retraite complémentaire sera la principale composante de la pension des régimes de retraite obligatoire, qui fonctionne également par un système de points. Elle dépend de la profession du travailleur en secteur libéral. A titre d’exemple, les avocats cotisent auprès de la CNBF, les médecins à la CARMF, les experts-comptables à la CAVEC.

En Rhône-Alpes, le cabinet GCA vous accompagne et vous aide à mieux préparer votre avenir en réalisant une estimation de vos futurs revenus, en évaluant vos besoins de ressources complémentaires, en vous proposant des solutions personnalisées afin d’augmenter vos revenus à la retraite et bénéficier d’un cadre fiscal avantageux.

Conseiller en assurance GCA

Conseiller en assurance GCA

En effet, il est toujours préférable d’anticiper au plus tôt l’arrivée de la retraite. Plus vous commencez tôt, moins l’effort d’épargne sera lourd. Des solutions de complémentaire retraite existent à tout âge, avec par exemple le rachat d’années passées pour rattraper le temps, permettant de verser davantage et d’augmenter ainsi le montant du complément de retraite.

 

L’idée de joindre profession libérale et retraite confortable n’est pas une utopie. Il suffit d’anticiper vos besoins, d’épargner régulièrement et de trouver le contrat de complémentaire santé qui répondra à vos besoins. Notre équipe GCA est présente pour vous aider dans ces démarches et vous permettre de toucher un complément de revenu garanti à vie. Discutez de votre projet avec votre conseiller en agence à Villefranche-sur-Saône dans le Rhône (69).